| 4ème
de couverture Mon
père m'a confié une mission très étrange auprès
d'un ami à lui, dont je n'ai jamais entendu
parler.
Mais je ne pars pas seul. Septentrion m'accompagne. et avec cet esclave à l'imagination débordante, je ne risque pas de m'ennuyer. Ah ça... je ne m'ennuie pas, non. Car rien ne se passe comme prévu. Et d'aventures en mésaventures, nous voilà sur la route de Noviodunum, où ce sapristi d'esclave me prouve qu'il est vraiment le roi de la gaffe ! |
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| Mes
commentaires : Les idées de romans viennent souvent d’une manière étonnante. Bien sûr, pour le second volume de LA TRIBU DE CELTILL, j’avais déjà la trame sur laquelle se tisse le destin de Celtill, mais, comme pour tout tissage, plusieurs fils doivent s’entrecroiser, mêler l’étrange, le cocasse, le dramatique. Pour LA MALÉDICTION DU SANGLIER, l’idée de départ m’est venue d’une simple image : la photo d’une chaussette trouvée dans une tombe. C’est émouvant, un objet si ordinaire. Cela nous rappelle que nos ancêtres ne sont pas des abstractions enfermées dans des livres d’histoire, mais des êtres humains, cherchant tout comme nous à lutter contre le froid. Cette chaussette étant plus qu’une chaussette - puisqu’elle elle m’aide à me projeter deux mille ans en arrière - elle aura aussi dans le livre un “plus” : elle va devenir message. |
