Notice  bibliographique
Les Sorciers de la Ville Close




 
garin sorciers
Couverture : Erwan Surcouf
4ème de couverture



Jamais Garin n'aurait dû mettre les pieds à Conq ; derrière les remparts de la ville close, une étrange maladie fait des ravages.
Dans la boutique de l'apothicaire, il se passe des choses bizarres.
Riwal ment, Nicole ne se contente pas de laver le linge, Hervé fait de drôles de mélanges, le passeur envoie des billets inquétants... tandis que la mort continue à frapper.
Et s'il ne s'agissait pas d'une épidémie ordinaire ?



Mes commentaires :
“Ville Close” est un mot que j’aime bien. A la fois protecteur et inquiétant. Protecteur quand l’ennemi est à l’extérieur, inquiétant quand il est à l’intérieur.
La ville de Concarneau l’est doublement, close : à la fois isolée par ses remparts, et par la mer.
Je peux en faire le lieu de tous les dangers et y expédier Garin, mon scribe. Facile à décider quand on est bien au chaud dans son bureau !
Voyons... En 1358, où en est la ville ? 
Déjà entourée de remparts. Refuge des commerçants.
Vit essentiellement du poisson. S’appelle encore Conq. En pleine guerre de succession de Bretagne, elle est tenue par les Anglais qui (ne l’oublions pas) ne sont pas des ennemis. Comme partout, on y trouve des bons et des mauvais, des rancoeurs, des amitiés, des histoires de famille, des sorciers.
Aussi, l’épidémie qui rampe au coeur des remparts et frappe aveuglément ne fait pas que des malheureux.
D’ailleurs, est-elle aussi aveugle qu’on pourrait le penser ?
Et est-ce bien une épidémie ?

Historique des éditions :
ville close 2009
Couverture : Henri Galeron
Illustrations : Nicolas Wintz 


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