Notice bibliographique |
Le signe de l'Aigle |
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4ème de couvertureLa nouvelle tombe comme un coup de tonnerre : l'Empereur Napoléon a fui l'île d'Elbe et marche sur Paris ! |
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Historique des éditions
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Mes commentaires : Un éditeur me demande un jour :“Est-ce que vous nous écririez un livre sur Napoléon ?” Moi : “Sur Napoléon ? Franchement non”. Je n’oublie pas qu’à 16 ans j’ai eu une passion pour l’empereur, du moins celui que les cours d’histoire nous racontaient sur un ton épique. Seulement, derrière le stratège, derrière les victoires comme les défaites, il y avait du sang et des larmes. Et c’est ce qui a motivé le “non” viscéral. Et puis, l’idée a fait son chemin dans ma tête. Parce que, le sang et les larmes, ils ont bien été versés par quelqu’un. Et ceux-là m’intéressent. Bon... Jetons un coup d’oeil sur la vie des gens à cette époque. Écoutons ceux qui ont été enthousiamés par le “petit caporal”, ou ont subi “l’ogre” (selon qui en parlait). Il y a aussi ce que disent ses anciens grognards dans leur journal... Stupéfiant ! Je tiens mon histoire. Une histoire à ambiance policière et humaine. Napoléon en personne n’y mettra pas les pieds, mais sa terrible odyssée - depuis la campagne d’Égypte jusqu’à la retraite de Russie - jouera dans la résolution du mystère un rôle décisif. Je vais imaginer un ado qui, comme beaucoup, nourrit une franche admiration pour l’empereur. Et voilà qu’on annonce son retour : Napoléon vient de s’échapper de l’île d’Elbe et remonte vers Paris. Max, qui aide son tuteur - un ancien grognard - à faire passer les messages télégraphiques n’imagine pas une seconde ce qui va remonter à la surface. Car tout se réveille, les douleurs et les haines, et les amours, et les secrets... |
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