 Couverture : Erwan Surcouf |
4ème de couvertureÀ Albi, Garin apprend qu’un étudiant vient d’être assassiné. Comme il le connaissait, il se rend à Cordes pour annoncer la nouvelle à la fiancée. |
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| Mes commentaires : Il y a quelques années, je suis allée à Cordes-sur-Ciel recevoir un prix pour un de mes romans. Ville magnifique, me suis-je dit, et qui pourrait bien un jour accueillir Garin. Et puis le temps à passé, Garin a eu d’autres aventures, ailleurs… Et voilà que “L’Anneau du Prince Noir” l’invite du côté de Toulouse. Il y rencontre un étudiant qui l’envoie porter un message à... - je cherche un endroit ni trop près ni trop loin - pourquoi pas Cordes ? Mais la ville ne jouera aucun rôle, puisque Garin est relevé de sa mission. Seulement, à la fin du roman, Garin n’a qu’un rêve : éviter les Anglais. Il va donc prendre la tangente. Pourquoi pas vers Cordes ? Subitement, la ville juchée sur son piton réapparaît. Et, là, j’ai vraiment envie de la mettre en scène. Je réfléchis. À Cordes, Garin va forcément rencontrer des amis ou ennemis de l’étudiant. Les deux histoires se raccrocheront donc un peu, mais en restant totalement indépendantes. Leur seul point commun sera l’étudiant, et vu sous un autre angle. Et s’il se faisait assassiner ? Pas très étonnant quand on connaît son passé. L’histoire commence à se construire. Finalement, ça m’arrangerait que l’étudiant ne meure pas à Cordes. Je cherche un autre endroit, pas trop éloigné. Tiens, justement, je dois aller rencontrer des classes à Albi. Je vais voir si la ville m’inspire. Crédiou ! Elle m’inspire terriblement ! C’est décidé : c’est là que l’étudiant se fera assassiner. Et voilà comment se règle le sort des héros... |
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