Notice bibliographique | Le chat de l'empereur de Chine |
| 4ème de couverture Quian a peur. Il doit fuir : les gardes de l'empereur sont à ses trousses. Qu'est-ce qui lui a pris d'accepter ce travail ? Transporter des sacs de riz n'est pas bien dangereux. Mais pourquoi fallait-il les charger la nuit, tout près du palais impérial ? Et à qui appartient ce chat, caché dans l'un des sacs ? | |||||||||
Historique des éditions Cette histoire a précédemment été publiée sous le titre : "L'homme rouge de Hang-Tchéou"
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Traduit en : Coréen : Kyohasksa | ||||||||||
Mes commentaires : Ah ! la Chine d’autrefois ! Les mandarins, la soie, les épices, les joyaux, les perles. Et puis Hangzhou et ses canaux aux “douze mille ponts”, “qui courent partoutes les régions de la ville”, nous dit Marco Polo, les jonques,les marchés aux fleurs... Voilà. Il me faut le précieux riz, des barques sur le grand canal, un marchand de bonnet à oreilles, un mandarin, l’empereur et... un chat. Ne pas oublier le chat. Animal béni des dieux, qui mangeait les souris qui mangeaient le riz que mangeaient les hommes.... |
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